Archives de catégorie : académie des vins anciens

Académie du 2 avril 2008 – les vins mercredi, 2 avril 2008

Voici les vins qui sont annoncés :

Bonnes-Mares, Charles Bernard 1915 (6/7 cms)

Château Rauzan Segla 1921

Vosne-Romanée « Clos des Réas », Pedrizet & Cie 1928 (10 cms)

Rivesaltes Ambré Cuvée Prémice 1932

Montrachet Bichot 1933 –

 

Pomerol 1934, mise de Luze, étiquette et année non lisible

 

Bourgogne grand vin des caves du chapitre, Jaffelin,  probable 1934

Château Calon ségur 1934

Gewurztraminer Sélection de Grains Nobles Hugel 1934

Domaine du Pin Premières Côtes de Bordeaux 1937

Chateau Beau-Site-Monprimblanc 1937

Puligny-Montrachet Ph. Meunier 1949

Château Beychevelle 1952 curieusement embouteillé par Bouchard Père & Fils

Château Moulinet 1955

Pommard Epenots Marie André 1953

capsule amusante. Je suppose que c’est avec ce Pommard ?

Chateauneuf Du Pape Mont Redon 1957 (année illisible)

Langoiran, Truilhé, 1957 (moelleux)

Domaine de Darrouban, Grande réserve, G Subervie et fils, (Graves sec) 1957  

 

Château Talbot 1959

Vega Sicilia Unico année 1959

Santenay Clos de Tavanne, de Fauconnet Négociant 1959

Chateauneuf du Pape Hugues 1959 (étiquette imprimée près de Toulon, en allemand !)

Clos Triguedina Cahors 1962

Clos de Tart 1964

Chateau Brane-Cantenac 1964

Chateau Lafite-Rothschild 1965

Meursault Calvet 1966

Bonnes Mares Négoce Lionel J. Bruck 1966 –

Corton Clos de la Vigne au Saint Louis Latour 1969

Château Suduiraut 1969

Gevrey-Chambertin "Clos Prieur"  Domaine Harmand-Geoffroy 1973

Chateau Montrose 1975

Champagne Brut  Prince De Bourbon Parme Abel Lepitre Reims  1975  

magnum de Dom Pérignon Rosé 1978

Château Gilette "Crème de tête" 1979

Chateau Nénin 1984 (est-ce vieux ?)

Champagne Le Brun de Neuville blanc de blancs 1998

champagne Besserat de Bellefon non millésimé

champagne Besserat de Bellefon non millésimé

Académie des vins anciens – 8ème séance mercredi, 2 avril 2008

Informations sur la 8ème séance de l’académie des vins anciens du 02 avril 2008 :

Lieu de la réunion : restaurant Macéo  15 r Petits Champs 75001 PARIS  01 42 97 53 85

Date de la réunion : c’est le 02 avril à  19 heures, heure absolument impérative.

Coût de la participation : 120 € pour un académicien qui vient avec une bouteille ancienne. 240 € pour les académiciens sans bouteille. Chèque à adresser dès maintenant à l’ordre de "François Audouze AVA" à l’adresse suivante : François Audouze société ACIPAR, 18 rue de Paris, 93130 Noisy-le-Sec.

Inscription : dès le 5 décembre 07 par mail à François Audouze

Proposition de vins anciens : dès le 5 décembre 07  (indiquer toutes informations sur l’état et le niveau). Toute bouteille proposée doit être agréée par François Audouze

Dates limites : comme nous sommes proches de la date de réunion : livrer les bouteilles au plus vite. Envoyer votre chèque avant le 15 mars, date vraiment limite.

Livraison des bouteilles :

Si vous déposez les bouteilles, faites le au bureau de la maison de champagne Henriot 5 rue la Boétie 75008 PARIS – tél : 01.47.42.18.06. C’est au deuxième étage. Indiquez bien votre nom sur votre paquet, mais surtout, n’écrivez rien sur les bouteilles et ne collez rien sur les bouteilles.

Si vous expédiez les bouteilles, faites le à l’adresse de mon bureau : François Audouze société ACIPAR, 18 rue de Paris, 93130 Noisy-le-Sec, et je les garderai dans ma cave.

Informations complémentaires :

Vous pouvez vous informer sur les précédentes réunions en regardant sur le blog.

Académie des vins anciens – 7ème séance lundi, 3 décembre 2007

L’académie des vins anciens a tenu sa 7ème séance au restaurant Macéo qu’anime un amoureux du vin que nous ne vîmes malheureusement pas. Dans la salle du premier étage aux stucs surannés charmants, nous étions 39 académiciens ce qui permit de former trois groupes de treize convives goûtant chacun de treize à quatorze vins puisque nous en avions plus de quarante.

Voici les trois groupes de vins :

Groupe 1 – Champagne Besserat de Bellefon non millésimé – Malvoisie Bodegas El Griffo, Lanzarotte # 1957 – Y d’Yquem 1978 – Chablis Maison Bichot 1929 – Château Bellevue (Montagne Saint-Emilion) 1961 – Cos d’Estournel 1942 – Moulin à vent Patriarche Père & Fils 1959 – Pommard (négoce illisible) 1923 – Martinez Lacuesta Reserva Especial de 1960 – Vega Sicilia Unico 1953 – Arbois jaune Louis Carlier 1953 – Pinot gris Sélection de Grains Nobles Hugel  1976 – Château Bernisse Castelnau Sauternes 1961 – Château La Tour Blanche, sauternes 1928.

Groupe 2 – Champagne Besserat de Bellefon non millésimé – champagne Delamotte 1990 – Vin Fou d’Henri Maire 1955  – Pouilly Fumé Baron de L Ladoucette magnum 1982 – Domaine Haut De Callens (Beautiran) Graves Supérieures 1/2 Sec 1964 – Château Léoville Las Cases 1945 – Cos d’Estournel 1933 – Echézeaux Jaboulet Vercherre 1973 – Hermitage La Sizeranne Chapoutier années 50 – Rioja El Siglo 1959 – Vin Jaune ROLET 1979 – Gewürztraminer Vendanges Tardives Domaine Weinbach Collette Faller  1976 – Moscato Passito di Pantelleria 1971 – Pedro Ximenez 1927.

Groupe 3 – Champagne Besserat de Bellefon non millésimé – champagne Delamotte 1990 – Pouilly Fumé Baron de L Ladoucette magnum 1982 – Muscadet 1969 – Bourgogne aligoté Côtes de Nuits 1962 – Puligny Montrachet Caves Nicolas 1947 – Château Clerc Milon 1982 – Château Bel Air Saint-Emilion 1966 – Pommard Thorin 1959 – Nuits Saint Georges Bouchard Ainé et Fils 1959 – Hospice de Beaune Cuvee des Dames Hospitalieres Poulet 1957 – Pommard, Hospices de Beaune, Cuvées Dames de la Charité Ets Leroy & Co 1934 – Gattinara Riserva NERVI 1977 – Château Gilette demi-doux 1954 – Château Roumieu 1955.

J’avais eu un peu peur en voyant certains vins qui étaient proposés, qui ne font pas partie des icônes pour lesquelles les amateurs se battent. Mais il se trouve que les performances de la quasi-totalité des vins ont dépassé ce que l’on pouvait attendre, ce qui a entraîné que beaucoup d’académiciens ont considéré cette 7ème séance comme la plus réussie. Le menu y était aussi pour quelque chose, car nous avons fort bien dîné. Le groupe comprend de plus en plus de fidèles réguliers mais s’est ouvert aussi. Des vignerons convaincus du sens de notre démarche nous font le plaisir d’apporter quelques pièces rares de leurs caves.

Je suis arrivé à 16 heures pour ouvrir tous les vins et quelques amis fidèles sont venus m’aider ce qui a rendu l’opération suffisamment rapide, même si des bouchons ont représenté de véritables casse-têtes. Nous avons constaté pour deux vins qu’ils ont été mis en bouteille dans des flacons dont le col était fortement ébréché avant le remplissage. L’un des vins a vu son bouchon tomber au moment où un ami découpait la capsule. Il a fallu le carafer. Cette séance indispensable pour que des vins aux odeurs peu civiles reviennent à la vie est l’occasion de bavardages amicaux avec les volontaires.

Voici le menu : concentré avocat guacamole croustille de céleri / rouleau de saumon mi-fumé, fine brandade de cabillaud et huile de roquette / broche de Saint-Jacques condimentée, copeaux de champignons sauvages / noisette de veau fermier, doucettes en pousse et pommes de terre ratte aux petits oignons / crème prise lait de coco, figue et caramel sangria / petit bouchon sablé ‘banane chocolat’ guanaja et sirop myrtilles.

J’étais dans le groupe 1 et l’on m’a fait goûter quelques vins des autres groupes dont je parlerai aussi. Le Champagne Besserat de Bellefon non millésimé a séjourné dans ma cave près de dix ans, ce qui lui donne une maturité de bon aloi. Avec un grand vigneron de champagne présent, nous nous disons qu’il est fort bon. On devrait faire vieillir en cave tous les champagnes non millésimés. Nous le buvons debout avec de fort goûteuses gougères.

La Malvoisie Bodegas El Griffo, Lanzarotte # 1957 est une inconnue. Je l’avais placée avec les liquoreux dans les listes que j’avais préparées, mais en débouchant j’ai senti qu’il était sec. L’étiquette indiquant 12°, c’est par lui que nous commençons. Quelle agréable surprise ! Voilà un vin sans aucun repère. Je dirais qu’il est politiquement correct, ou glabre. Car on ne peut pas lui trouver le moindre défaut. Il n’est pris d’aucune folie, mais il est bon, simplement bon. Notre table le trouve fort agréable.

L’Y d’Yquem 1978 est particulièrement joyeux et fruité. On sent toute l’expressivité des terres d’Yquem. Vin sans histoire qui expose son fruit avec un naturel charmant, il coule en bouche parfaitement.

Le Chablis Maison Bichot 1929, ça c’est autre chose. On pénètre dans le monde des vins anciens avec un vin absolument convaincant. Sa palette aromatique est infinie. Il transporte comme sur un tapis volant dans un monde irréel où volent les épices, les goûts raffinés, compliqués et sensuels. C’est un immense vin extraterrestre. A ce stade, nous nous disons que ça démarre bien, car les trois blancs que nous avons bus n’ont pas le moindre défaut. Ils sont l’exacte représentation de ce qu’ils doivent être, si l’on admet que la Malvoisie ait une référence, ce qui n’était pas le cas pour moi. Et voici qu’on me tend un verre du Pouilly Fumé Baron de L Ladoucette magnum 1982, apporté par celui qui le fait. Et là aussi, ce qui me frappe, c’est la pureté de ce vin au final enchanteur, large coup de fouet qui réjouit les papilles. Quatre blancs bien faits à ce stade, c’est un bon début.

Le Château Bellevue (Montagne Saint-Emilion) 1961 joue d’une voix beaucoup plus affirmée que son appellation. C’est l’année 1961 qui veut ça. Le Cos d’Estournel 1942 est un peu plus fatigué. Ces deux rouges qui viennent ensemble sont agréables, pleins d’évocations subtiles, mais on mesure le fossé qui sépare les blancs auxquels aucun reproche ne peut être fait de ces deux rouges dont les imperfections se remarquent. Deux vins fort courtois au demeurant.

Et le Moulin à vent Patriarche Père & Fils 1959 vient enfoncer le clou. Car il est d’un équilibre et d’une précision qui forcent le respect. C’est un vin sensuel, joyeux, qui se boit sans histoire quand on cherche à Bordeaux les traces de noblesse dans un message parfois brouillé.

Le Pommard 1923 est d’une bouteille lourde comme des vins de cette époque, et aucune indication n’est donnée sur le domaine ou sur le négoce qui l’a fait. C’est Pommard, un point c’est tout. Et dès la première gorgée, je me retrouve dans mon univers. C’est charmant, plein d’évocations nostalgiques, et c’est un vin qui m’émeut.

Avec le  Martinez Lacuesta Reserva Especial de 1960 on redescend sur terre. Vin charnu, puissant, un peu torréfié, il se boit bien mais ne dégage aucun frémissement de ma part. Tel n’est pas le cas du Vega Sicilia Unico 1953, insolent de facilité de langage. Ce vin parle bien, il a la voix posée, et son verbe fleuri raconte des histoires. Quel grand vin !

L’Arbois jaune Louis Carlier 1953 est vraiment fatigué. On reconnaît des lettres dans des bouteilles à la mer, mais le message est presque illisible.

Le Pinot gris Sélection de Grains Nobles Hugel  1976 est absolument magnifique. Jean Hugel doyen de notre assemblée nous a fait l’amitié de se joindre à nous. Il démontre une fois de plus que ses vins anciens ont une légèreté, une fluidité et un caractère aérien spectaculaires. Ce vin est beau, précis, joyeux, fluide en bouche, et on en boirait toute la nuit.

Le Château Bernisse Castelnau Sauternes 1961 fait partie d’une des huit bouteilles que j’ai apportées. Je l’ai mis pour que l’on puisse se rendre compte que de petits sauternes gagnent avec l’âge une sérénité joyeuse. Celui-ci est vraiment plaisant. On ne peut pas dire qu’il a du corps. Mais son goût est charmant. Evidemment, quand arrive le Château La Tour Blanche, sauternes 1928, on change de galaxie. Ce vin a tout pour lui. Il ressemble beaucoup au vin de Hugel au plan de la légèreté, de la facilité de son trajet en bouche. Mais l’aîné a une palette aromatique absolument exceptionnelle. C’est un vin immense.

Avant d’évoquer les vins d’autres table, je fais un classement des vins de notre groupe : 1 – Château La Tour Blanche, sauternes 1928, 2 – Chablis Maison Bichot 1929, 3 – Pinot gris Sélection de Grains Nobles Hugel  1976, 4 – Vega Sicilia Unico 1953. Mais le Pommard 1923 mériterait une médaille comme la Malvoisie recueillerait le prix de l’étrangeté.

On m’apporte de temps à autre un vin à découvrir. Le Vin Fou d’Henri Maire 1955 est vraiment fou. Un peu fatigué, il exprime cependant quelque chose d’inconnu, de troublant et fort charmant. Le choc est venu du Puligny Montrachet Caves Nicolas 1947 que j’avais apporté. Tout le groupe 3 se pâme d’aise devant ce vin parfait, l’un des convives me disant : « ce n’est pas possible, ils ont mis du Montrachet ! ». Et effectivement, ce vin est invraisemblablement parfait, juteux, goûteux, machû, fruité au-delà du possible, avec une longueur rare. Comme c’est le mien, je vais le mettre en tête, avant même La Tour Blanche que j’ai adorée.

La surprise la plus forte est venue du Nuits Saint Georges Bouchard Ainé et Fils 1959. Ayant dû le carafer, j’ai cru lui remettre son avis de décès, et je n’aurais pas donné un centime sur sa survie. Il fit mieux que cela, il se révéla buvable, même si la torréfaction est certaine, et les tables concernées l’ont aimé. Ils ont d’ailleurs eu la chance d’avoir quatre bourgognes, dont j’ai bu quelques uns, qui étaient présents au rendez-vous qu’on leur avait donné. Chacun de groupes a pu approcher des vins qui furent de grandes surprises positives. Il y a eu quelques bouteilles fatiguées, mais dans l’ensemble, les performances furent bonnes et en tout cas supérieures à ce que donneraient des avis livresques. Les vins anciens se comportent mieux que ce que l’on croit.

Cette séance fut très équilibrée. Trois groupes de treize goûtant treize à quatorze vins, c’est le bon format. La salle très adaptée, la cuisine qui suit le mouvement, tout était réuni. Il nous faut pour la suite rehausser le niveau de certains apports. L’académie des vins anciens a justifié pleinement hier les objectifs qui avaient été fixés lorsqu’elle a été créée.

Académie des vins anciens – 7ème séance – photos lundi, 3 décembre 2007

La photo de famille des vins apportés par les académiciens, de 1923 à 1982. On remarque dans la glace une vue partielle sur la jolie salle du restaurant Macéo.

Quelques bouchons extirpés avec l’aide d’académiciens amis. L’opération d’ouverture est toujours joyeuse mais studieuse.

 

Une cuisine de bonne qualité nous a permis de passer un moment de grande joie oenologique.

académie – vins de 1973 à 1982 lundi, 3 décembre 2007

 Echézeaux Jaboulet-Vercherre 1973

Gewürztraminer Vendanges Tardives Domaine Weinbach Collette Faller  1976

 

Tokay d’Alsace Vendanges Tardives, sélection de grains nobles Hugel 1976

 

Gattinari Nervi, vin italien 1977

"Y" d’Yquem (qui ne s’appelle en fait pas ainsi, mais seulement "Y") 1978

Vin jaune d’Arbois Rolet Père & Fils 1979 avec un texte explicatif sur le vin jaune

 Baron de L Pouilly Fumé Ladoucette 1982 en magnum de la réserve de Patrick de Ladoucette, qui assistait à la réunion de l’académie des vins anciens du 3 décembre 2007.

académie – vins de 1961 à 1971 lundi, 3 décembre 2007

Chateau Bernisse Castelnau, Sauternes 1961

Chateau Bellevue, Montagne Saint-Emilion 1961

 Bourgogne Aligoté Grivelet-Cusset 1962. Il n’y a qu’à l’académie qu’on ouvre de tels vins !!!!

Où classer ce Pedro Ximenez 1927 dont le fût a été commencé en 1927. Mais que reste-t-il de cette année là ?

Domaine Haut-Callens Graves Supérieures blanc demi-sec 1964.  Un tel vin est typiquement dans la cible de l’académie des vins anciens qui veut montrer que ces petits vins, avec de l’âge, deviennent absolument extraordinaires.

A noter l’écriture : "Graves Supérieurs", alors que l’on dit – je crois – "Graves Supérieures". A vérifier.

Chateau Bel Air Saint-Emilion 1966

 J’ai mis ce Moscato passito di Pantelleria 1971 en pensant à Carole Bouquet qui a un vin similaire. Est-ce le même ? Là aussi à vérifier.

académie – vins de 1954 à 1959 lundi, 3 décembre 2007

Chateau Gilette demi-doux 1954

 Chateau Roumier Sauternes 1955. C’est tellement bon !

Hermitage la Sizeranne Chapoutier que l’on a situé vers 1955

 Chateau Moulinet Pomerol 1955

 

 

 Encore une Cuvée des dames hospitalières Beaune Poulet Hospices de Beaune 1957 

 

Un Moulin à Vent Patriarche 1959 : il n’y a qu’à l’académie des vins anciens que l’on peut réaliser à quel point ces vins sont bons.

 Nuits Saint Georges Bouchard Aîné 1959

 

Pommard J. Thorin 1959

 

Délicieux Rioja 1959

 

Ce Lanzarote est en fait un vin sec délicieux. Il est annoncé pour 1957. Mais qui sait ?

académie – vins de 1934 à 1953 lundi, 3 décembre 2007

Pommard Cuvée des Dames de la Charité Ets Leroy 1934

 Cos d’Estournel 1942

 Chateau Léoville Las Cazes (on disait : Grand vin de Léoville) 1945

 Puligny-Montrachet Caves Nicolas 1947 de ma cave (le plus grand vin de la soirée selon beaucoup d’académiciens)

 

Le vin fou d’Henri Maire 1950 : quelle curiosité !

 Vega Sicilia Unico 1953 : une immense bouteille

Arbois Jaune Louis Carlier 1953

académie – vins de 1923 à 1933 lundi, 3 décembre 2007

je suis extrêmement ému par de telles bouteilles

Pommard 1923 origine inconnue

Chateau La Tour Blanche 1928 absolument magnifique et bouchon d’origine.

Sublime Chablis Fortier-Picard Maison Bichot 1929. On voit qu’il a voyagé !

 Cos d’Estournel 1933 étiqueté à nouveau au chateau, mais au bouchon d’origine