Dîner au Maxencedimanche, 3 décembre 2000

A un autre repas professionnel, j’ai ouvert un flacon de 5 litres d’un excellent Meyney 1979, Saint-Estèphe qui n’a pas la cote qu’il mérite. Et j’ai ouvert aussi un Noble One, Sémillon botrytisé de 1996 d’Australie. Des saveurs incomparables. Beaucoup de Sauternes feraient bien de faire attention à eux. J’ai fait porter un ou deux verres à la table de Pierre Palmade que je ne voulais pas déranger. La cuisine était de David Van Laer, le jeune et talentueux chef du Maxence, qui ira loin, tant il a de dons.

(commentaire de 2005 : la trajectoire de David Van Laer a été interrompue. Il explore d’autres voies. Il a tout pour réussir)