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déjeuner ‘algérien’ samedi, 2 août 2025

C’est le genre d’événement que j’adore. Jérémie est un ami amateur de vins algériens. Nous allons organiser un repas autour de vins que nous allons découvrir. Voici le programme tel que nous l’avons conçu : Champagne Salon 2015 – Smalah rosé 1939 (Vignal, Algérie) – Echézeaux Domaine de la Romanée Conti 1969 – Chambertin Clos de Bèze Armand Rousseau 2001 – La Sposata rouge (vignoble de la mère de Napoléon Bonaparte) circa 1950 – Sidi Brahim rosé 1974.

Jérémie a apporté les deux vins d’Algérie et La Sposata, car il savait que j’avais adoré un La Sposata blanc 1946 étonnant, et j’ai complété ce programme.

Nous sommes quatre : ma fille, mon fils, Jérémie, jeune amateur de vins algériens, et moi-même.

Le Champagne Salon 2015 allie force et romantisme. C’est sans conteste l’un des meilleurs Salon dans sa jeunesse. Il est parfait avec des rillettes.

Le Smalah « Vin Fin » Rosé Algérie 1939 est un vin totalement méconnu. C’est un vin de M. Vigna, propriétaire de Sidi Brahim. Son fort parfum de café, énigmatique, est si long en bouche qu’il laisse une impression profonde. Un vin admirable. Nous avons été tellement séduits qu’il a terminé premier de nos votes. Il est magique sur des coquilles Saint-Jacques.

L’Echézeaux Domaine de la Romanée Conti 1972 possède le nez agréable et le goût si caractéristique des vins de la Romanée Conti, avec des notes de sel et de rose. Il est très grand et largement supérieur à ce que l’on pourrait imaginer d’un 1972. C’est un excellent vin sur un steak de bœuf Angus.

Voici maintenant deux vins servis ensemble sur du bœuf Wagyu. Le Chambertin Clos de Bèze Armand Rousseau 2001 est un vin incroyable, charmant, fruité et équilibré. Une pure perfection, un rêve. On aimerait avoir toujours un Bourgogne aussi parfait à savourer.

À côté, La Sposata, un vin rouge corse produit dans une propriété appartenant à la mère de Napoléon, négociant à Cattanéo, dans les années 1950. L’odeur du café est très similaire à celle du Smalah, et curieusement, ce vin évoque le vin algérien. C’est un vin très atypique et intéressant.

Le dessert est une tarte à la reine-claude, accompagnée d’un rosé algérien Sidi Brahim Vigna rosé 1974. Ce vin a été élaboré 12 ans après la séparation de l’Algérie et est nettement moins agréable que les merveilleux rosés de Frédéric Lung élaborés dans les années 1940.

Nous étions sur un petit nuage, ravis d’avoir préparé un déjeuner aussi merveilleux avec d’aussi bons vins. Nous avons voté et le résultat global était le suivant :

1 – Smalah rosé 1939, 2 – Chambertin Clos de Bèze Rousseau 2001, 3 – Salon 2015, 4 – Echézeaux DRC 1972, 5 – La Sposata rouge circa 50s, 6 – Sidi Brahim rosé 1974.

Mon vote est le même pour les 3e, 4e, 5e et 6e, et mon premier est Rousseau et le deuxième Smalah.

Jérémie est un passionné de vins algériens, du fait de l’histoire de sa famille. Il est enthousiaste et généreux. Le repas a été riche en émotions partagées. Ce grand moment de communion est un bonheur absolu.

Apéritif au Krug mercredi, 30 juillet 2025

Pour un nouvel apéritif, j’ouvre un Champagne Krug Grande Cuvée dont l’étiquette est de couleur bordeaux, probablement des années 90.

Un léger pschitt est apparu à l’ouverture, ce que j’apprécie. Le vin a une très belle robe intense. Je suis agréablement surpris par l’équilibre et le charme de ce champagne. Nous l’avons dégusté avec des huîtres et des bulots. Un délice. De tels champagnes sont un pur plaisir. En général, je préfère la Grande Cuvée première génération, mais celui-ci était adorable.

L’un des voisins venu prendre l’apéritif chez nous avait apporté un Crozes Hermitage Domaine Combier 2023. On ne peut pas dire que je suis un spécialiste ou un amoureux des vins de cet âge, mais j’ai eu un grand plaisir à le boire car il est bien fait, franc, et bon vivant comme Laurent Combier.

Une bataille espagnole samedi, 19 juillet 2025

Nous allons avec mon fils et sa femme au restaurant l’Aventure. Le Champagne Pommery Cuvée Louise 1989 est un champagne magnifique. Il avait un joli pschitt à l’ouverture, des bulles généreuses et un nez profond. Je suis immédiatement séduit par la noblesse et l’extrême complexité de ce champagne, au-delà de mes attentes. Bien équilibré, c’est un grand champagne d’une maturité parfaite.

Peter Sisseck est un vigneron danois qui a fait ses premières armes dans le bordelais et qui a acheté un vignoble de la Ribera del Duero, non loin de Vega Sicilia. Il a fait sensation, car dès son premier millésime, son vin Pingus a obtenu la récompense ultime d’une note de 100 points par le célèbre Robert Parker. Lorsque nous nous sommes rencontrés, une amitié est née.

J’ai envie de faire une amicale confrontation de Pingus avec Vega Sicilia Unico. Ce sera sur le millésime 2009.

Sur l’instant, pour le bouchon, Pingus est largement vainqueur. Mais il y a une raison : le goulot de la bouteille de Vega Sicilia Unico n’est pas cylindrique. De ce fait, ce qui se trouve sous la partie étroite du goulot ne peut être soulevé sans se briser. Le bouchon de Pingus est impeccable. Celui de Vega vient en lambeaux.

Pour la première odeur, Pingus est plutôt fermé et serré. Vega est généreux et fruité.

Ceux qui suivent mes dîners savent que je suis opposé aux compétitions directes. J’aime boire des vins pour eux-mêmes et non pour les concurrencer. Mais comme je n’ai bu que 55 Pingus contre 225 Unico, la tentation existait.

Le nez du Pingus 2009 est sérieux. Le nez du Vega Sicilia Unico 2009 est plus sexy, plein de grâce.

En bouche, le Pingus suit une ligne droite lorsque le Vega Sicilia Unico est ample et généreux. Le Pingus est vertical et le Vega Sicilia Unico est horizontal.

Pingus me plaît par sa richesse complexe et le Vega Sicilia Unico est joyeux, souriant et séduisant. Les deux expressions sont complètement différentes. Je dirais que le Pingus est masculin et le Vega Sicilia Unico féminin, mais cette définition est assez réductrice.

Pingus est un peu trop Parkerien à mon goût. J’ai tellement l’habitude de savourer le Vega Sicilia Unico que j’adore que je l’ai préféré, mais Pingus a dépassé mes attentes et c’est un excellent vin.

Salon 1997 mercredi, 16 juillet 2025

Enfants et petits-enfants se succèdent comme les acteurs dans une comédie de boulevard, aussi les occasions d’ouvrir des champagnes ne manquent pas. Aujourd’hui, ce sera un Champagne Salon Magnum 1997.

J’adore le Salon 1997, et je l’aime particulièrement parce que j’ai commis une erreur. Lorsque le Salon 1997 a été présenté aux amateurs et aux négociants, je l’ai bu et j’ai dit à Didier Depond, président de Salon : « Il ne me parle pas. » Et Didier m’a répondu : « tu verras ».

Et j’ai vu, car ce solide Salon s’exprime de plus en plus. C’est un guerrier, fait pour conquérir. J’ai ouvert ce magnum pour mon fils et sa femme.

La bulle est très active, signe de jeunesse, et le pschitt était plein d’énergie. C’est la synthèse d’un grand champagne jeune. Un guerrier à l’avenir infini.

Notre boucher traiteur fait une coiffe du charcutier qui est virile et goûteuse. C’est le compagnon idéal de ce beau champagne.

Châteauneuf et accueil de voisins mercredi, 16 juillet 2025

Lorsque j’avais préparé dans ma cave parisienne des vins que j’emporterais dans le sud, j’ai choisi parfois des vins inhabituels comme ce Châteauneuf-du-Pape Cro des Caladas H.M. Avril 1957. Le niveau était excellent et la couleur du vin très tentante.

Je suppose que c’est un vin de la famille de Paul Avril. Je l’ai ouvert 5 heures avant le dîner.

Il est très puissant mais élégant, raffiné et très séduisant. Pour un vin de 68 ans, j’ai été surpris par sa fraîcheur et sa subtilité. C’est une très agréable découverte.

Nous recevons des voisins qui ont créé une association qui s’occupe de défendre notre environnement et l’intégrité du littoral. Pour cet apéritif, j’ouvre un Champagne Laurent Perrier Grand Siècle Magnum dégorgé en 2017. Ce champagne est fait généralement de trois millésimes assez proches et la moyenne doit être de 2004 en se référant aux chiffres imprimés sur le bouchon.

Ce champagne en magnum allie richesse et élégance. Très agréable à boire, il est noble. Je dirais élégant et féminin. Il vieillira très bien et s’améliorera de plus en plus, car Grand Siècle vieillit merveilleusement bien. De tous les champagnes que j’adore, j’ai un petit coup de cœur pour son élégance.

Salon 2002 et 2015 samedi, 12 juillet 2025

J’ai du Champagne Salon 2015 un souvenir émerveillé. Pour mon anniversaire, j’avais organisé un déjeuner avec un Salon 1955 et un Tarin Clos du Mesnil 1955. Didier Depond, président de Salon et Delamotte, avait apporté un Salon 2015, affirmant que nous étions les premiers à découvrir ce 2015. Était-ce vrai, n’a pas trop d’importance, mais j’ai eu un coup de cœur pour le 2015.

L’idée m’est venue de vérifier si mon amour est justifié. J’ai envie d’ouvrir ensemble le Salon 2002 et le Salon 2015.

Le 2002 est très difficile à ouvrir. Je me suis battu avec le bouchon pendant dix minutes. Le 2025 s’est ouvert sans difficulté.

Comme c’était un apéritif, nous avons dégusté un pâté de campagne, un camembert Jort et du saucisson. Le Champagne Salon 2002 est rond, brillant et déjà mûr dans sa jeunesse. Le Champagne Salon 2015 est plus romantique et tellement long. Il est incroyable. Mon amour était pleinement justifié car ce champagne est unique. Sa longueur est incroyable.

Avec le pâté de campagne, les deux sont parfaits, très différents car le 2002 a une forte personnalité et le 2015 un charme terrifiant. Avec le camembert, le 2015 est dix fois meilleur, taillé pour le fromage. Avec le saucisson, le 2002 est parfait.

Nous avons bu deux grands Salon. Le 2015 deviendra légendaire.

déjeuner au restaurant Aventure samedi, 12 juillet 2025

L’ambiance du restaurant Aventure est extrêmement conviviale aussi le directeur du restaurant a apporté pour que je le goûte un Châteauneuf-du-Pape Saint-Préfert 1990. Je l’ai ouvert. Le bouchon s’est brisé en mille morceaux, car il était collé au verre et d’un liège de mauvaise qualité. Servi, la couleur n’est pas belle et il y a une légère odeur de bouchon. Le directeur est triste, mais le vin s’est rapidement rétabli et a commencé à être extrêmement agréable. Mieux encore, il est devenu excellent. Une très belle surprise.

Le Vega Sicilia Unico 2005 est un vin tonitruant et phénoménal. Il est d’une puissance infinie, mais ce qui fait le miracle de Vega Sicilia Unico, c’est que le vin est d’une fraîcheur extrême avec un finale mentholé. Un bonheur rare.

déjeuner à l’hôtel Saint-James vendredi, 17 février 2023

L’animateur d’une société qui organise de grands événements touristiques et gastronomiques m’a contacté et me demande rencontrer une coréenne qui voudrait que je fasse des dîners à Séoul. Cette dame m’invite à déjeuner avec celui qui a organisé cette entrevue et avec un jeune coréen qui vit en France et a participé à la mise au point de l’entrevue. Le déjeuner se tiendra à l’hôtel Saint-James. La question a été posée que je puisse apporter du vin. Dans cette organisation, l’apport d’un vin est peu facile mais on m’a répondu oui.

Je me présente, j’explique mes dîners et la charmante dame voit que le directeur de salle vient me saluer et évoque des souvenirs communs et que le chef de cuisine qui me rappelle où nous nous sommes connus vient s’enquérir de mes vins pour ajuster les plats que nous avons choisis. Elle se rend compte que l’on me connait et que l’on s’inquiète de mes désirs. Les vins vont définitivement sceller la confiance.

Pour le ceviche de poisson armé d’une sauce adaptée, le Vin Jaune Fruitière Vinicole des producteurs de Côtes du Jura à Voiteur 1961 a une couleur joliment dorée et un parfum d’une force rare. L’accord est superbe avec le poisson presque cru.

J’ai choisi un vin à la demande de Madame Kim et j’ai retenu un Châteauneuf-du-Pape Château Rayas 2010 dont le prix sur la carte est encourageant. Ce vin est admirable à tout point de vue, d’une belle jeunesse qui a atteint une maturité idéale. C’est un régal et un vin au sommet de son art. Le chef Julien Dumas a adapté la sauce de la volaille fondante et l’accord est divin.

J’avais demandé au chef s’il pouvait faire un financier et son interprétation permet au Vin de Chypre 1870 de briller. Le parfum est intense et complexe, très épicé. La couleur dans le verre est faite de mille feux avec des notes d’orange, de brun, de doré. En bouche ce vin est miraculeux. Il est à la fois doux mais extrêmement sec, avec des agrumes par milliers et du poivre très fort. Le financier adoucit sa vigueur. Madame Kim est conquise. Nous devrions donc faire des dîners à Séoul. A suivre.

L’hôtel Saint-James est un endroit d’un confort certain. La cuisine est de belle qualité. Cette rencontre est prometteuse de belles aventures.

Repas de famille avec des vins de tous horizons dimanche, 13 mars 2022

C’est un déjeuner en famille avec mon fils venu de Miami, ma fille cadette et son compagnon, ses deux enfants et sa nounou qui a logé chez nous toute la semaine pour nous régaler avec une cuisine forte d’émotion et de sentiment.

J’ai choisi des vins pour ce déjeuner en mêlant des bouteilles de belle maturité et des bouteilles qui ont un risque possible d’avoir été affaiblies par le temps ou sont en grand danger. Vers 10 heures, je commence à ouvrir un Meursault de 1942 au niveau bas dans la bouteille et à la couleur du vin qui paraît sombre. En déchirant la capsule, je vois un trou béant : le bouchon est tombé dans la bouteille. Il est difficile d’imaginer situation plus horrible. Je carafe le vin au teint un peu grisé et le nez me semble possible. Nous verrons.

J’avais pris une bouteille de Johannisberg de Sion 1962, vin présenté dans une jolie bouteille de forme alsacienne. C’est en fait un vin suisse sec dont, hélas, le parfum annonce qu’il est mort, ayant perdu le tiers de son volume. J’avais gardé la bouteille de Beaucastel Vieilles Vignes 2010 bue en partie hier au restaurant Langosteria. Il y aura donc un blanc de secours.

Le Pommard 1961 au beau niveau a un parfum idéal. Le Châteauneuf du Pape 1970 au niveau correct a un nez relativement neutre qui ne m’a pas interpellé outre mesure. J’ai ouvert suffisamment de bouteilles pour que nous trouvions notre compte, c’est du moins ce que je pense.

Mon fils a apporté des victuailles, des crèmes aux diverses saveurs et épices, du saumon fumé délicieux et surtout des bulots fantastiques. On mange généralement les bulots sur des plateaux de fruits de mer et les bulots sont posés sur des glaçons, ce qui neutralise leur goût. Alors que ces bulots, à température ambiante, sont parfaits. Avec le Champagne Dom Pérignon 1980 que j’ai ouvert il y a deux heures, l’accord est magique. Le champagne a une couleur d’un ambre profond et orangé. La bulle est faible mais le pétillant est motivant. Le champagne est large et grand, au sommet de son art. C’est un champagne superbe et glorieux.

J’avais gardé trop longtemps un saint-nectaire qui avait pris des couleurs foncées. Je me suis dit que ces saveurs avancées ressusciteraient peut-être les vins blancs fatigués. Nous mangeons ce fromage et il joue effectivement un rôle diplomatique pour adoucir le Meursault Patriarche 1942 qui à ma grande surprise se révèle plus sympathique que ce que je craignais. Il a même quelques accents charmants, au point que ma fille classera ce vin premier des vins du repas. J’en suis content car cela prouve – une fois de plus – que tous les vins méritent qu’on leur donne une chance.

Evidemment cela ne se produit pas toujours comme nous le démontre le Johannisberg de Sion 1962 qui est mort et imbuvable, ce que l’on reconnaît à un parfum qui semble définitivement bloqué. C’est donc le moment de servir le Châteauneuf-du-Pape Vieilles Vignes Château de Beaucastel 2010. Il est beau, fruité, juteux, joyeux et en même temps frais aux accents aqueux. Un vrai bonheur naturel. 24 heures de plus lui ont donné une belle largeur.

Sur deux poulets délicieux, le Pommard Naigeon-Chauveau 1961 qui avait le plus beau nez à l’ouverture montre à quel point il est velouté et charmant. C’est l’amour courtois d’un vin féminin au final riche. L’année 1961 est décidément une grande année.

Le Châteauneuf-du-Pape Clos Saint-Marc A. Estevenin 1970 a une odeur extrêmement désagréable qui ne m’avait pas frappé à l’ouverture. Le vin est désagréable et repoussant. Nous n’insistons pas. Il faut donc ouvrir un autre vin rouge pour les fromages dont un Mont d’Or séduisant. Jamais je n’aurais pensé devoir ouvrir une nouvelle bouteille.

C’est donc sur l’instant que se présente un Clos de Vougeot Méo-Camuzet 1992 qui est le vin qui, le premier, m’a fait apprécier les immenses qualités de ce domaine. Ce 1992 se présente un peu plus mature que ce que j’attendais, ayant perdu un peu de fraîcheur pour de la rondeur. C’est un vin que j’adore, aristocrate, qui profite du crémeux du Mont d’Or.

Le dessert est de sorbets qui n’appellent aucun vin.

Le soir, il ne reste que mon fils. J’ouvre une boîte de caviar osciètre de Kaviari pour un Champagne Krug Grande Cuvée étiquette crème qui est de la deuxième génération des Grande Cuvée. La bouteille est d’une beauté splendide. Le champagne est un peu rigide, avec une toute petite acidité, aussi il manque un peu de charme, même si c’est un grand champagne. Aujourd’hui j’ai préféré la rondeur du Dom Pérignon 1980. Ce qui vaut un jour ne vaut pas toujours. Ce qui est plus important c’est d’avoir donné des chances à tous les vins de ces deux repas, et d’avoir eu des moments passionnants.

Mon classement serait : 1 – Pommard 1961, 2 – Dom Pérignon 1980, 3 – Beaucastel Vieilles Vignes 2010, 4 – Clos de Vougeot 1992, 5 – Krug Grande Cuvée étiquette crème.

Ce fut une belle journée en famille.

on voit que le bouchon du Dom Pérignon est beaucoup plus court que celui du Krug

Visite au jardin botanique de fondation Fairchild vendredi, 4 janvier 2019

dans le parc :

camouflage d’iguane. Il me tire la langue !

fleur ou fruit ?

la cage aux papillons

les papillons sont nourris aux bananes bien mûres

on introduit de nouveaux papillons dans une valise et l’un d’eux se trouve bien sur la main de ma femme

c’est très difficile de photographier des colibris, quasiment toujours en vol

une belle orchidée

ma femme s’est faite une nouvelle amie !