une originalité du Carré des Feuillantsmardi, 23 septembre 2008

Lorsque l’on descend aux toilettes (mesdames, ne lisez pas plus loin), il n’existe qu’un urinoir.

Et lorsque l’on est devant la vasque pour satisfaire un besoin traditionnellement qualifié de naturel, une Vénus de Milo nous regarde. Elle semble impressionnée par la vision qu’offre l’entrebaillement de notre pantalon, et son sourire en dit long.

Elle est tellement impressionnée que les bras lui tombent.

On se rebraguette avec une regain de masculinité.