déjeuner au restaurant Le Divellecmardi, 7 octobre 2008

Dans cette période de crise financière, j’ai voulu sentir les tendances en allant déjeuner chez Jacques le Divellec.

Plusieurs hommes politiques déjeunaient là, sans que l’on puisse sentir une baisse de leur appétit.

J’ai pris des huîtres en demandant des petites et j’en ai reçu des grosses, goûteuses mais un peu chaudes.

Le rouget entièrement désarêté est une institution. Bravo :

Signe de crise, j’ai bu de l’eau ! Non, c’est parce que je sortais à peine du merveilleux dîner à la Grande Cascade.